13 février 2008, 0h00
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Mot d’ordre: éviter de nouveaux conflits, alors que l’Union sort d’une profonde crise existentielle. Hier, les ministres des Finances des Vingt-Sept ont fermement rappelé à la France qu’elle s’était engagée à équilibrer ses comptes publics en 2010, et non en 2012, mais en ajoutant que Paris serait jugé en temps opportun à l’aune de l’évolution de la croissance économique.
Réunis à Bruxelles, les grands argentiers des Vingt-Sept ont adopté hier un avis critique sur le «programme de stabilité» ...
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