08 juin 2005, 0h00
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Prix en baisse pour quelques grands crus classés. Mais la campagne de vente des primeurs de bordeaux reste difficile. Les professionnels invoquent la parité euro/dollar, la morosité économique en Europe et l’abondance de l’offre. Toujours est-il qu’à trois semaines de la fin de la campagne moins de 45% des volumes proposés ont trouvé preneurs. Les prix fluctuent d’année en année en fonction de la réputation du millésime, des notations des dégustateurs, du cours de l’euro et de l’humeur du marché...
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