26 juillet 2005, 0h00
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Le nationalisme économique face aux menaces de rachat d’entreprises n’est pas qu’un travers français, tel qu’il s’illustre dans l’affaire Danone-PepsiCo: il est au contraire bien partagé dans les pays développés. On l’a vu dans l’affaire Unocal, le pétrolier américain convoité par le chinois Cnooc; avec IBM, Nivea, Sanofi et l’interminable saga du secteur bancaire italien où les règles du marché sont chaque fois mises à mal.
L’urticaire national se manifeste encore plus lorsque ce sont des so...
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