23 juin 2004, 0h00
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«Le constat est encore plus accablant que prévu», avertit d’emblée Hugo Fasel, président de la commission de gestion du Conseil national. Il présentait hier l’expertise du professeur Heinz Schmid, chargé d’étudier combien d’excédents avaient réalisés les institutions de prévoyance, et ce qu’elles en avaient fait.
En été 2002, à la demande des grandes institutions de prévoyance, le Conseil fédéral abaissait de 4% à 3,25% le taux minimum à verser sur les avoirs du 2e pilier qui leur étaient confi...
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