20 avril 2009, 0h00
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A New York, Londres ou Paris, l’heure est au dégraissage dans les grands cabinets d’avocats. On parle de 15 à 20% de suppressions d’emplois, dans le sillage de l’arrêt des fusions-acquisitions, victimes collatérales de la crise du crédit. En Suisse, le mois de février a vu des avocats locaux s’alarmer des conséquences de la transmission par UBS de noms de clients à la justice américaine: «Si le secret bancaire s’effondre, à qui va-t-on dorénavant vendre nos services juridiques?» se demandait...
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