20 avril 2009, 0h00
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A l’heure où les plus grands cabinets newyorkais et londoniens licencient ou réduisent le temps de travail de leurs collaborateurs pour mieux faire face à une chute de leur chiffre d’affaires de l’ordre de 15 à 20%, les acteurs de la place financière genevoise vivent les choses très différemment. Certes, la vague des fusions et acquisitions est retombée, mais elle ne constituait pas leur activité principale. Et les rapprochements et succession dans les entreprises, qui demeurent les clients les ...
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