14 octobre 2003, 0h00
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Les investisseurs ont attendu pendant des années que les banques commencent à faire des fusions transfrontalières. Mais en dépit des grands espoirs apparus vers la fin des années 1990, rien ne s’est passé. Les banques ont renâclé devant la tâche qui consistait à rendre crédible, devant les actionnaires, la thèse selon laquelle une avancée décisive vers l’étranger en valait la peine. Il était plus facile de diminuer les coûts chez soi.
Mais maintenant, on assiste à un changement d’humeur. Les ba...
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