22 avril 2009, 0h00
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Le premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, n’a toujours pas digéré l’inscription de son pays sur la «liste grise», publiée le 2 avril lors du sommet du G20, des centres financiers qui se sont récemment engagés à échanger des informations bancaires à des fins fiscales mais ne sont pas encore passés à l’action.
Prononçant hier son traditionnel discours de politique générale sur l’état de la Nation devant la chambre basse du Parlement luxembourgeois, le chef de gouvernement a reconnu...
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