22 avril 2010, 0h00
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La réaction des chefs de gouvernement de l’UE et de la Banque centrale européenne (BCE) face à la dette grecque n’est pas satisfaisante. Ils ont d’abord rejeté l’idée d’appeler le FMI à la rescousse, alors qu’ils n’avaient pas de solution de remplacement. On peut en déduire que la raison en tenait notamment à la réticence du président Sarkozy qui ne souhaitait pas voir le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, venir de Washington à l’aide la zone euro - d’autant qu’il pourrait être so...
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