01 décembre 2004, 0h00
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«Celui qui voudra tester notre métal comprendra vite que ça n’en vaut pas le coup», assure le général britannique John Reith. C’est avec détermination – mais surtout plein de bonnes intentions – que l’Union européenne prendra demain la relève de l’OTAN en Bosnie-Herzégovine, où sera déployée une force de stabilisation de 7000 hommes, dont vingt militaires suisses.
Elle est baptisée Althéa, ce qui, à en croire les Grecs, devrait lui donner un certain pouvoir de guérison. L’Union européenne lance...
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