28 septembre 2004, 0h00
Partager
Déjà troublée par le résultats des votations sur les naturalisations, la Commission européenne n’a pas encaissé, hier, la sortie qu’a faite Micheline Calmy-Rey contre elle. La conseillère fédérale rejette sur Bruxelles la responsabilité du piétinement des négociations sur le «chèque suisse» pour l’élargissement de l’Union.
La Suisse s’est engagée à contribuer financièrement au renforcement de la cohésion économique et sociale dans l’UE. Les départements fédéraux de l’économie et des affaires ét...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT