12 février 2010, 0h00
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«On a pris un engagement de rigueur et de transparence du côté grec, de soutien et de solidarité du côté européen», a résumé le président français, Nicolas Sarkozy. Dans l’espoir de mettre ainsi un terme aux attaques spéculatives que les marchés financiers ont lancées en raison du délabrement de ses finances publiques, la Grèce a notamment dû confirmer hier sa promesse de réduire de 4% son déficit en 2010. En contrepartie, les Etats membres de la zone ont assuré qu’ils prendront «des mesures dét...
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