31 mai 2005, 0h00
Partager
Les principaux responsables de l’Union ont tous tenté de dédramatiser l’impact du «non» français à la Constitution européenne, lundi soir et hier. Les Vingt-Cinq feront le point de la situation les 16 et 17 juin, à l’occasion d’un sommet de leurs chefs d’Etat ou de gouvernement. Elle aura changé, d’ici là, car un deuxième pays fondateur de l’UE, les Pays-Bas, s’apprête lui aussi à rejeter le nouveau traité européen, demain.
Le premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, dont le pays ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT