22 juin 2006, 0h00
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Malgré des expositions répétées, certaines personnes ne seront apparemment jamais touchées par le VIH. Parmi les individus infectés, il y a une variabilité dramatique dans la façon dont le corps répond au VIH et dans la rapidité de progression de l’infection vers le SIDA. Pour comprendre ces différences en explorant l’influence génétique sous-jacente, des chercheurs américains, européens et australiens se sont réunis au sein d’un consortium financé par le CHAVI (Center for HIV/AIDS Vaccine Immun...
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