14 mai 2007, 0h00
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Le ton risque d’être sec et le verbe acéré cette fin de semaine à Samara. Russes et Occidentaux vont en effet s’expliquer sur des sujets qui irritent au plus haut point le gouvernement Poutine tels que le projet de bouclier antimissile américain en Pologne et en République tchèque, le développement de la démocratie en Russie, son adhésion à l’OMC ou encore les droits de l’homme (lire en page 8). Dans ce climat de tensions qui s’est aggravé avec la crise diplomatique entre la Russie et l’Estonie ...
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