27 mars 2000, 0h00
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Alors que, par son ampleur, le relèvement subit des taux d’intérêt décidé jeudi par la Banque Nationale Suisse (BNS) suscite aussi des craintes – celles de voir cette mesure casser la reprise de l’économie – d’autres voix redoutent de voir une politique monétaire trop restrictive succéder, comme sa conséquence directe, à une politique trop expansive. Une critique qui met en évidence l’art central du timing dans le dosage des robinets monétaires. Art qu’exerce avec brio Alan Greenspan, le préside...
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