27 octobre 2000, 0h00
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L’UBS a longtemps peiné. Depuis sa fusion, l’année 2000 semble être la première au cours de laquelle la première banque suisse est parvenue à davantage montrer ses forces que ses faiblesses. Si bien que sa valeur boursière dépasse de 10 milliards son éternel concurrent helvétique, après avoir été un moment relégué par le CS Group. Marcel Ospel pliait l’an dernier sous la lourdeur de la tâche, par exemple au départ du responsable du Private Banking, source d’une nouvelle réorganisation. Des décis...
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