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Louis Erard, de la belle mécanique à des prix enfin plus accessibles

En à peine 14 mois, l’horloger a exploité avec succès sa niche. La société va doubler sa production et compte être rentable cette année.

01 avril 2005, 0h00
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La société horlogère Louis Erard bat depuis près d’un an et demi au rythme du renouveau. Tombée dans l’anonymat ces dernières années, la marque opère un retour remarqué. L’entreprise, rachetée fin 2003 par un groupe d’investisseurs sous l’impulsion d’Alain Spinedi, apporte un bol d’air frais bienvenu dans la branche, prenant notamment le contre-pied de la folle surenchère à laquelle se livre actuellement le segment haut de gamme. «Les consommateurs recherchent aujourd’hui des garde-temps orig...
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