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L’Opel Omega «B»: un profil bas mais une valeur sûre

L’Omega souffre d’un déficit d’image chronique vis-à-vis de ses concurrentes allemandes. Elle est pourtant une compagne de route fidèle et endurante.

23 février 2001, 0h00
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On l’accordera volontiers, ce n’est pas par coup de cœur que l’on envisage l’achat d’une grande Opel, en occasion en particulier. Au risque de passer pour un «beauf» d’outre-Sarine, on admettra que la «grande» Opel possède un habitacle spacieux (en particulier la version break «Caravan»), de bons sièges, des motorisations honorables et des coûts d’entretien raisonnables qui ont fait sa réputation. Il manque certes le prestige d’une BMW série 5 ou d’une Mercedes Classe E, la technologie d’une Aud...
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