23 juillet 2009, 0h00
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Deux ou trois acquisitions pour étendre la gamme de services. Stefan Borgas, président exécutif de Lonza a émaillé les mauvais résultats au premier semestre d’une promesse de croissance externe très écoutée. D’autant plus que le groupe a évoqué une capacité proche du milliard de francs. Une aisance qui ressemblerait à celle de Swatch Group ou Richemont, s’il ne s’agissait en réalité d’une position de dette nette. Résultat principalement d’une double émission d’obligations. La première, entièreme...
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