01 novembre 2005, 0h00
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En envoyant à New York douze ministres des Affaires étrangères, les quinze pays membres du Conseil de sécurité ont voulu donner du poids à la résolution 1636 adoptée hier pour faire obligation à la Syrie de coopérer pleinement à l’enquête de la commission des Nations Unies sur l’assassinat de l’ancien premier ministre libanais Rafic Hariri. Mais l’unanimité du Conseil de sécurité n’a été obtenue qu’au prix d’une édulcoration du texte. Toute référence spécifique à des sanctions en cas de non-coop...
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