16 novembre 2004, 0h00
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Selon le président de l’Association suisse des banquiers (ASB) Pierre Mirabaud, la place financière de Londres est devenue un paradis pour le blanchiment d’argent. L’échange d’informations ne serait qu’une farce.
«Londres n’a pas besoin du secret bancaire», estime Pierre Mirabaud, dans une interview publiée lundi par la Berner Zeitung. La loi britannique conserve l’anonymat des ayants droit économiques se trouvant derrière les trusts. Les enquêtes des autorités ne conduisent ainsi à aucun résul...
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