28 mars 2000, 0h00
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«Face à la souveraineté des nations, l’OMC est un danger en ce sens qu’elle ne dispose pas de contre-pouvoir à sa toute puissance sur le plan législatif, exécutif et judiciaire» a lancé José Bové. Le paysan syndicaliste était invité à une conférence-débat par le journal AGRI, de l’agence AGIR et de l’organisation agricole AGORA. Dans son discours, il a présenté son point de vue sur les limites de la libéralisation du domaine agricole. Fort de son aura, José Bové espère avoir distillé un esprit d...
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