01 septembre 2005, 0h00
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D’Adam Michnik à Lech Walesa en passant par Zbigniew Bujak qui publie un texte dans «L’Agefi» d’aujourd’hui, on perçoit une nostalgie, voire une amertume chez ceux qui ont participé à Solidarnosc et, au-delà, à la libération de la Pologne. Les grands espoirs qui les animaient ont cédé la place à la prose du quotidien et les Polonais, comme tant d’autres avant eux, doivent apprendre à réciter cette prose sans basculer ni dans une nouvelle violence, ni dans une dépression nerveuse.
L’histoire, di...
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