25 juillet 2007, 0h00
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L’autre jour, un voisin se précipite vers moi, tout essoufflé et parvenant à peine à formuler son indignation. Après quelques bégaiements, il s’avéra qu’il parlait des vacanciers de l’été. Que, malgré le réchauffement climatique, malgré les nouvelles alarmantes sur la chaleur torride régnant sur le Sud de l’Europe, tout le monde se précipitât vers la Méditerranée lui semblait être un hiéroglyphe indéchiffrable, une énigme entourée d’un mystère, bref, pour le dire tout crûment, un signe affligean...
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