23 juillet 2007, 0h00
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Dans la grande famille des malades atteints de paresse chronique, les groupes pathologiques sont bien définis. Les cas les plus sérieux souffrent du «défaut de travail». Certes, l’univers professionnel offre une certaine marge de tolérance et les sites Internet regorgent de conseils adéquats: trousseau de base pour fainéanter à l’aise, astuces de comportement pour cagnarder, excuses à invoquer pour perdre son temps, toute la panoplie indispensable afin de supporter la «valeur» travail qui revien...
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