11 avril 2006, 0h00
Partager
Le pire des scénarios planait sur l’Italie hier soir: un match nul. Une de ces situations politiques inextricables impropres au lancement de toute thérapie de choc, si attendue par les marchés. Les électeurs n’ont pas clairement donné à l’une des deux coalitions mandat de gouverner. Le plus dur reste donc toujours à faire: restaurer la compétitivité et la crédibilité du pays.
Outre le maintien de sa cohésion interne, la coalition victorieuse doit reconduire d’ici à 2007 dans les normes du ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT