20 juin 2011, 0h00
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On redoutait l'Italie; finalement, seule la France les a épinglées: selon elle, «les banques suisses ont créé des mécanismes ou des véhicules pour faire en sorte que certains revenus de l'épargne ne soient pas couverts par l'accord»; que Berne et l'Union ont conclu en 2004 dans le domaine de la fiscalité de l'épargne. C'est la critique de la Suisse la plus sérieuse qui apparaît dans le rapport que la Commission européenne a rédigé après avoir collecté les réponses des Vingt-Sept à 38 questions p...
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