15 octobre 2009, 0h00
Partager
La vulnérabilité du Conseil fédéral face aux projets fiscaux de l’OCDE et du G20, ou encore la crise libyenne, ont relancé non seulement un débat sur l’organisation du gouvernement, mais également sur l’isolement présumé de la Suisse. On se demande dans quelle mesure, si la Suisse avait fait partie de l’Union européenne (UE), ces crises auraient pu être rapidement surmontée. Pour un pays consacré au premier rang de la compétitivité mondiale et dans le top ten des libertés économiques en 2009, qu...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT