18 avril 2008, 0h00
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«Je ne lui confierais pas mon portemonnaie!» Merci à Pierre Keller, directeur de l’Ecal, pour cette attaque – au sens littéraire s’entend – tendre mouchet venant d’un ami de 35 ans. «Il a raison, je suis un acheteur maladif», renchérit Claude Nobs. Voilà pour la partie privée. Côté festival, le maître de cérémonie se prétend moins dépensier et se satisfait avec bonheur de pouvoir s’appuyer sur une instance administrative qui trouve les budgets indispensables à sa créativité. «Les déficits ne son...
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