01 mars 2012, 0h00
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Socialisation des risques et privatisation des profits. Pas d'argent public sans contrepartie. Les critiques n'ont pas été épargnées face aux opérations de sauvetage menées par les gouvernements et banques centrales au cours de la crise de 2008. Quatre ans plus tard, le bilan n'est pas si négatif. Loin s'en faut.La Banque nationale suisse s'attend à un bénéfice de 13 milliards de francs pour 2011. Grâce au fonds de stabilisation, le résultat consolidé devrait être encore un peu plus élevé. A fin...
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