25 octobre 2012, 22h52
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Après les performances trimestrielles supérieures aux attentes présentées par nombre de grandes banques américaines, Credit Suisse n’a pas déçu hier les marchés en dépit de quelques bémols. Notamment au niveau de la marge de rentabilité brute dans la gestion privée. Sous l’impact de quatre facteurs détaillés par le CFO David Mathers. Des facteurs plutôt cycliques d’ailleurs que structurels. Le CFO n’a en revanche pas chiffré les suppressions d’emplois induites par les nouvelles mesures de réduct...
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