15 décembre 2009, 0h00
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Thomas Thöni, Zurich
Economiesuisse prend peur. Les Suisses, d’habitude si raisonnables, si prévisibles, semblent de plus en plus gouvernés par leurs tripes. Ce n’est pas bon pour les affaires, et pour la préservation des avantages compétitifs de la place financière et économique déjà bien mis à mal par la tendance à la surréglementation en cours. Il ne faut pas que l’acceptation de la votation sur les minarets, dont les retombées négatives ne sont pas encore connues, se reproduise. Contre laqu...
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