03 juin 2010, 0h00
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La logique de la réalité industrielle ne correspond pas toujours à celle des marchés financiers. Les investisseurs étrangers misant sur des entreprises suisses n’ayant apparemment pas encore révélé tout leur potentiel favorisant une meilleure valorisation boursière l’ont appris à leurs dépens. Ceux œuvrant agressivement pour une remise en valeur par la prise de participations significatives ont dû essuyer des pertes importantes. Sans compter que bon nombre d’entreprises suisses ainsi «réorientée...
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