21 novembre 2011, 0h00
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Il semblerait que la valse des premiers ministres grec et italien n'ait pas suffi à rassurer les marchés qui, exception faite de l'allemande, s'acharnent à matraquer les dettes souveraines de la zone euro. Les autorités se lancent dans une folle course contre la montre pour entériner les budgets et les mesures d'austérité, mais ratent systématiquement leur départ et sont distancées par le marché. Pour preuve, des obligations françaises, italiennes et espagnoles ont vu, après une ouverture encour...
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