28 mars 2008, 0h00
Partager
«Le monde est à nous et nous sommes allés où peu ont osé s’aventurer» écrivait hier un journaliste du Economic Times, comme s’il avait signé le rachat de Jaguar et Land Rover de 2,3 milliards de dollars de sa main propre. Cette récupération pleine de fierté reflète fidèlement le sentiment général en Inde. Ici, l’identification à Ratan Naval Tata est puissante; plus qu’un héros national, il incarne presque un dieu vivant. En 2006, il était élu l’homme de l’année par une chaîne de télévision local...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT