18 mars 2005, 0h00
Partager
Si la place financière suisse continue contre vents et marées à tenir son rang dans le concert international, ce n’est certainement pas grâce à la structure de son industrie des fonds de placement. Non que les professionnels de la branche soient de moins bons gestionnaires que leurs homologues européens, mais les conditions cadres du pays en la matière font que la plupart de ces véhicules collectifs de placement vont chercher asile sous des cieux plus cléments, en France, en Irlande et au Luxemb...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT