23 septembre 2003, 0h00
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Limitée dans sa croissance économique, la Suisse ne peut plus se permettre les excès des associations écologistes dans l’utilisation de leur droit de recours. Tel est le constat établi par l’institut de réflexion Avenir Suisse dans une nouvelle étude* présentée hier à Berne.
Les recours excessifs
dissuadent les investisseurs
Vingt ans après son entrée en vigueur, le droit de recours dont disposent les associations s’avère aussi contre-productif sur le plan écologique que sur le plan éco...
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