11 octobre 2005, 0h00
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On a coutume de dire qu’à quelque chose toujours malheur est bon. Par exemple, l’augmentation rédhibitoire des coûts de l’essence subséquente au désastre de la Nouvelle-Orléans stimulerait les carburants verts. Mais en vérité, le développement et l’avènement des biocarburants n’a pas attendu Katrina. L’évidence économique qui veut que «going green, more profit» aura été plus efficace en la matière que le WWF, la crise pétrolière et la complainte écologique réunis.
Le prix du baril d’essence dev...
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