04 juillet 2008, 0h00
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Avant l’avalanche de résultats du deuxième trimestre, qui commence dès la semaine prochaine, le marché est resté plus que jamais perméable aux mauvaises nouvelles. A elle seule, l’annonce de la progression des ventes du commerce de détail dans la zone euro, en mai, n’a pas suffit à contrebalancer un ensemble de facteurs défavorables. La fuite en avant des prix du pétrole, dont le baril est passé au-dessus des 146 dollars à Londres en matinée, la publication d’un taux d’inflation de 4% en Europe ...
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