18 janvier 2006, 0h00
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L’autre jour, le grand industriel indien Kumar Mangalam Birla déclarait : «La mondialisation du talent indien constitue un fait frappant des années 1990.» Et nombre de chefs d’entreprise occidentaux font chorus. Ces propos correspondent à la réalité quoique la corde soit en train de se tendre entre l’offre et la demande.
En 1947, au moment de l’indépendance, l’Inde se trouvait dans une situation paradoxale : c’était, en termes d’élites, un des pays les plus avancés du tiers monde et en même tem...
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