15 février 2010, 0h00
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S’ils chuchotaient la semaine passée, les marchés obligataires haussent maintenant le ton, jusqu’à vociférer. Les écarts se creusent, mais plus significatif encore, les opérateurs rechignent à acheter, ne serait-ce qu’en petites quantités. Notre recommandation en faveur de la qualité et d’échéances courtes s’est vérifiée dans les faits et cette manœuvre assèche les liquidités. Or, si l’on en croit le passé, ces circonstances préfigurent souvent une crise financière - ce qui n’est certes pas s...
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