06 juillet 2005, 0h00
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Y aurait-il eu davantage de Romands pour écouter la Zurichoise Régine Aeppli, si elle s’était rendue à Lausanne, qu’il n’y a eu de journalistes zurichois à la conférence de presse d’Anne-Catherine Lyon hier à Zurich? Mauvaise question, puisque sans réponse, mais néanmoins révélatrice de l’intérêt apparemment très relatif porté par la presse locale à l’apprentissage des langues étrangères à l’école. En tout cas, seuls trois journalistes alémaniques, contre cinq francophones, avaient fait le dépla...
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