19 décembre 2005, 0h00
Partager
A l’instar de l’horlogerie suisse, l’année 2005 pour Girard-Perregaux s’apparente à un excellent cru. Mais contrairement à de nombreuses autres marques, la manufacture chaux-de-fonnière mise davantage sur la qualité et la technicité que sur une augmentation à tout-va de la production et du chiffre d’affaires. Ici pas d’esbroufe, mais place à l’horlogerie de haute complication.
Luigi Macaluso, patron du groupe Sowind (qui regroupe notamment les marques Girard-Perregaux et JeanRichard), préfère...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT