14 janvier 2009, 0h00
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Ils sont «spécieux», «pervers», «ridicules» – et on en passe. Dans l’Union européenne, les arguments développés par l’Union démocratique du centre (UDC) afin de minimiser l’impact d’un éventuel «non» à la libre circulation des personnes, le 8 février, sont battus en brèche.
Dans un communiqué publié lundi, l’UDC fustige les «contrevérités affligeantes» que le Conseil fédéral assène afin de convaincre les Helvètes de donner leur feu vert au renouvellement de l’accord sur la libre circulation des...
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