16 mai 2011, 0h00
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L'effet positif des problèmes d'UBS sur les structures régionales, en termes d'afflux de nouveaux fonds, s'est relativement estompé l'an dernier. Cela vous a-t-il contraint à développer une stratégie plus agressive dans le retail?Non, car nous ne voyons absolument aucun reflux de fonds vers les grandes banques. Il est vrai que Credit Suisse a proposé récemment des taux d'épargne très agressifs. Dans les faits, cela a eu très peu d'impact sur la clientèle. Il s'agit évidemment de produits d'appel...
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