09 février 2001, 0h00
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Il y a une douzaine d’année, les entreprises horlogères criaient au loup: «Si vous ne faites pas quelque chose immédiatement, nous allons nous trouver à court de main-d’œuvre spécialisée. Ce sera une catastrophe, d’autant que la montre mécanique revient en force». Cette situation a perduré et la situation se péjorant de plus en plus, la Convention patronale horlogère avait lancé une enquête, en 1992, afin de dresser une sorte d’état des lieux des professions horlogères. Elle devait aussi donner ...
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