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«L’horlogerie suisse doit surtout garder les pieds sur terre»

Le triomphe du luxe ne doit pas faire oublier les leçons du passé: l’entrée de gamme reste la base.

26 février 2007, 0h00
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Il faisait 17 degrés et le Faubourg du Lac était désert. Bienne digérait la pause de midi. Nick Hayek rallumait son cigare. Le matin même, Swatch mettait sens dessus dessous le terminal de l’aéroport de Paris avec un accident de sprinkler qui détrempa la boutique du groupe sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’empire Hayek: 19 marques, plus d’une centaine d’unités de production et un chiffre d’affaires annuel de quelque 5 milliards de francs. Le père, mythe vivant de l’industrie horlogère,...
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