31 mars 2009, 0h00
Partager
Pendant des décennies, un musée britannique a exposé une majestueuse peinture de Mark Rothko…à l’envers. C’est l’artiste lui-même, par hasard en visite dans ce haut lieu de la violence symbolique de l’art, qui s’est rendu compte du crime de lèse-majesté. Toute proportion gardée, l’horlogerie suisse pourrait souffrir du même strabisme divergent. Du moins en ce qui concerne l’exégèse de la crise qu’elle doit affronter. Les excès de pessimisme, de la presse, des détaillants, des spécialistes et de...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT