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L’horlogerie a perdu 4000 emplois

C’est quand même moins que les 5000 prévus au pire moment. Les conditions s’améliorent. Certaines entreprises réengagent.

08 avril 2010, 0h00
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«Le quart de la moitié du commencement», aimait à déclamer Cyrano de Bergerac. C’est apparemment ce qui est en train de se produire sur le marché du travail horloger. Les indices d’esquisse de redressement semblent en effet se multiplier ces dernières semaines, avec des offres d’emploi qui resurgissent, après une vingtaine de mois de disette, et des annonces de licenciements en net ralentissement. Durant la récession, le secteur n’en aura pas moins perdu environ 4000 emplois. Un chiffre toutefoi...
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